Résurrection, les premières critiques.
Il faut un début à tout, voilà donc les premières critiques concernant Résurrection.
Tout d'abord, Mélusine qui, sur son blog, a posté cette critique dont je vous livre une seule phrase (pour le reste, il faut aller lire sur son site la critique en question) :
Le rythme ne fait que s’accélérer jusqu’à une dernière partie en apothéose qui vous en met plein la vue !
Et, pour poursuivre, une critique d'une lectrice postée sur Amazon :
Bien que le thème de l'apocalypse ne me tentait pas, j'ai été agréablement surprise par ce roman qui a fini par me prendre aux tripes et m'entraîner dans une tornade de lecture pour connaître la fin. J'ai particulièrement aimé l'évolution du personnage d'Aurore, qui peut paraître fade au début mais qui prend toute sa saveur au cours de l'histoire et autour duquel viennent s'amonceler les mystères. Les personnages secondaires, tel que Halle Berry, cachent également bien leur jeu au début avant de se révéler plus complexes et machiavéliques. J'ai hâte de lire la suite. (Mayri)
Merci à toutes les deux. Ce genre de critiques me permet de poursuivre le sourire aux lèvres et l'esprit quelque peu rassuré, un auteur n'étant jamais certain de ne pas avoir fait fausse route une fois la dernière ligne de son roman écrite.
Bien entendu, rien n'est parfait, ce roman ambitieux par le nombre de protagonistes aurait peut-être trouvé une meilleure respiration dans un espace plus vaste, mais je tenais à me limiter à une trilogie.
J'apprécie ces bouts de chemin en compagnie de mes personnages, mais je n'aime pas m'éterniser indéfiniment avec les mêmes. Un défaut ou une qualité, à vous de voir. Pour ma part, il me faut de la diversité dans l'écriture, aussi bien dans le genre, dans le scénario, mais aussi dans l'univers qui compose mes romans, sous peine d'essouflement. Un essouflement que l'on retrouve dans nombre de séries, à mon humble avis.
Je viens d'ailleurs de supprimer deux nouveaux personnages qui apparaissent uniquement dans le tome trois, pour une question de lisibilité (un vrai crève-coeur pour l'auteur, mais le besoin s'en faisait sentir, alors, j'ai sorti mon sécateur et j'ai taillé sec...).
Et en parlant du dernier tome (sortie 2014), je vous promets un roman « Citius, Altius, Fortius ». Je vous en dirai plus dans les semaines à venir, promis.
Bonnes fêtes à tous et à bientôt.
JV